Politique Eco

Politique & Eco n°262 avec J.M. Vernochet - Vous avez aimé l’immigration, vous adorerez le racialisme !

Publiée le 06/07/2020
Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent l'essayiste Jean-Michel Vernochet.

1) De la lutte des classes à la lutte des races

- Le soutien des multimilliardaires de la "philanthropie" - Le régal des médias - Minneapolis : Floyd et Chauvin se connaissaient - Pourquoi l’affaire a-t-elle traversé l’Atlantique ? - L’inspiration française, du freudo-marxiste Marcuse - La fin de la classe ouvrière blanche - Le gang Traoré - Les financements publics des associations antiracistes - D’autres inspirateurs, Frantz Fanon et Albert Memmi - De l’anti-impérialisme à l’antiracisme une inspiration marxiste - La colonisation en question

2) Le péché originel des blancs... être blanc !

- Les communautés ne se mélangent pas, Hollywood n’est pas la réalité - Un énorme contre-sens sur la colonisation - Crime contre l’humanité, la faute du "moraliste" Macron - De quelques épisodes esclavagistes et colonialistes non européens - Le déboulonnage en question, Jules Ferry, Blum, Mendès, Colbert

3) Du fardeau de l’homme blanc aux sanglots de l’homme blanc

- L’assimilation est-elle possible ? - La question de l’immigration européenne - Ces hommes qui refusent le racialisme : Toussaint, Quarteron etc... - La question de l’identité et des identitaires - Où est la discrimination ? - L’antiracisme, faux-nez du racisme antiblanc - La crise racialiste, une diversion ? - Retour aux USA sur la figure de Thomas Sowell - Un processus révolutionnaire toujours plus radical, SOS racisme dépassé ? - Refuser la culpabilité criminelle - Quels rapports avec l’Afrique ?

Politique & Eco avec Pierre Jovanovic - 2008 : Le hold-up bancaire comme solution à la crise

Publiée le 14/07/2025

Privatisation des profits, socialisation des pertes... Qui sont les vrais responsables ? Tout a commencé en 2008 mais rien n’est fini, l’économie est toujours sous l’emprise des effets de cette funeste année et des pratiques du système qui y ont conduit. Une arrière-cuisine de l’entre-soi bancaire et de l’Etat profond. La crise a débuté, comme d’habitude, outre-Atlantique et le degré de dépendance de l’économie mondiale aux Etats-Unis en fera une crise mondiale. La cause de ce désastre étant la fameuse crise des subprimes. Celle-ci devait se limiter strictement aux banques américaines, selon Alain Minc, constant dans l’art de formuler des professions foireuses.

Mais la question se pose : peut-on croire que des prêts incertains accordés à des ménages peu solvables soient la seule explication ? De surcroit ces prêts étaient garantis par des organismes proches de l’Etat (Fanny Mae et Freddy Mac) ou bien appuyés sur un CDS (Credit Default Swap), une assurance qui remboursait le prêteur à la place du ménage, produit titrisé éminemment toxique. Ces prêts accordés avec une intention sociale au bénéfice de minorités ethniques sont-ils la cause de la crise mondiale ?

Le président de Goldman Sachs, Hank Paulson, sera nommé secrétaire au trésor par George Bush et c’est lui qui va organiser, le hold-up sur les ménages et la plus grande vague de pauvreté qui s’en suivra.

Pierre Jovanovic, journaliste financier, lève le voile sur l'un des plus grands scandales financiers de l'histoire du capitalisme dans son ouvrage "2008" publié aux Jardin des Livres.