Zooms

Zoom - Patrick Buisson : Vatican II, Macron, Islam, Zemmour, Le Pen... il dit tout !

Publiée le 29/05/2021
En 2016, son essai intitulé "La cause du peuple" a marqué les esprits. Cinq ans plus tard, Patrick Buisson publie le premier tome d'une somme qui s'annonce magistrale : "La fin d'un monde". Dans un livre riche et dense, le politologue part d'un postulat : depuis les années 60, notre société est décadente. Et toute la question est de savoir comment nous en sommes arrivés là. Patrick Buisson évoque l'année charnière de 1964 avec ce qu'il appelle "le krach de la foi" sous l'impulsion fatale du concile Vatican II, puis de la déchéance du pater familias, la fin des paysages, la destruction de l'environnement, de l'autorité, de la verticalité. Dans un entretien souvent rugueux et âpre, Patrick Buisson répond au reproche de mettre trop l'accent sur la transformation des mœurs et des croyances plutôt que sur le "Grand Remplacement" de la population française. Il s'en explique et évoque l'Islam, Macron, Zemmour et le RN. Un entretien événement qui va faire réagir !

Zoom - Jean-Loup Bonnamy : Immigration : une idéologie meurtrière ?

Publiée le 06/01/2025

Racisme, colonisation, esclavage : l'Occident, névrosé, s'accuse encore et toujours de tous les maux. C'est oublier que tous les peuples ont été tantôt conquérants, tantôt conquis et que l'esclavage a été pratiqué par toutes les civilisations. Et si cette éternelle autoflagellation, prétendument désintéressée, était en fait une façon paternaliste de rester au centre de l'attention ? Hier, l'Occident se présentait comme le bienfaiteur de l'humanité. Aujourd'hui, il prend la pose du grand méchant universel. Du colonialisme à la repentance, du héros au bourreau, la démarche reste cependant la même : nier l'histoire propre des autres civilisations et faire de l'homme blanc l'unique acteur digne d'être sur la scène. Pour éviter notre suicide, Jean-Loup Bonnamy, ancien élève de l'Ecole normale supérieure et auteur de "L'Occident déboussolé", explique que nous devons en rabattre sur notre égocentrisme et notre haine de nous-mêmes, pour accepter l'idée de n'être ni meilleurs ni pires que les autres.