Bistro Libertés

Bistro Libertés avec Charles Prats : Fraude sociale : qui sont les voleurs ?

Publiée le 09/10/2020
Son livre "Cartel des fraudes" a fait l'effet d'une bombe : 5 millions de "fantômes" bénéficient indument de nos prestations sociales pour la somme annuelle de 50 milliards d'euros ! Dans Bistro Libertés, le magistrat Charles Prats révèle tout de la grande fraude "connection" : nos 3 doyens ont 128 ans, l'AME profite aux trafiquants de drogue, la Sécu finance le djihad. A ses côtés, deux experts de poids : l'économiste Philippe Murer et le journaliste Nicolas Vidal. Qui sont les fraudeurs, les voleurs ? Réponse dans ce Bistro mené à un rythme d'enfer et qui fait sauter tous les tabous ! Au programme des débats : 00:24:07 1) Fraude sociale ou gabegie générale ? La fraude sociale est-elle le révélateur d’un Etat-gabegie qui finance et ne contrôle financièrement plus rien ? Et qui dilapide l’argent public tout en imposant aux citoyens une perpétuelle hausse des impôts et des taxes ? 01:16:02 2) Révolte sociale ou révolte générale ? Devant les injustices sociales et la crise économique dont le Covid a été le révélateur, peut-on s’attendre à une sourde révolte sociale ou à un embrasement général et d’une intensité plus forte que le mouvement des Gilets Jaunes ?

Bistro Libertés - Steven Gunnell : de chanteur à cinéaste

Publiée le 24/12/2025

Pour cet épisode de "Bistro Libertés", Éric Morillot a invité le couple de réalisateurs du film "Sacré Cœur : son règne n’a pas de fin", dont la campagne publicitaire a été censurée par la RATP et la SNCF.
Toute la gauche wokiste est vent debout contre ce film dénoncé comme "prosélyte", qui porte sur les apparitions de Jésus à sainte Marguerite-Marie Alacoque, il y a 350 ans. Il s'ensuit une déprogrammation du film dans certaines salles. Cela n’empêche pas le film de franchir en un mois la barre des 500 000 téléspectateurs.
 
Lui est l’ancien chanteur du "boys band" Alliage. Avec des ventes qui dépassent à chaque fois les 500 000 unités, le groupe connaît le succès de 1997 à 1999. Puis arrive son "bug" de l’an 2000 avec un passage du statut de star à celui d’ange déchu avec à la clé la dépendance à l’alcool, la dépression et la misère. Un tournant tout relatif puisqu’il se convertit en 2000 dans l’église sainte Rita de Nice. Il est vrai que sainte Rita est la patronne des causes désespérées.
Six ans plus tard, Robert Hossein lui confie le rôle de Jésus dans "Ben Hur", puis celui de Jean-Paul II dans "N’ayez pas peur". Au même moment, Sabrina se remet d’une rupture amoureuse très difficile. Ils ont un coup de foudre et se marient dans la vie privée mais aussi dans le travail puisqu’ils fondent une société de production et réalisent des films documentaires pour KTO.

Avec Frigide Barjot, Charbel Lakis et Béatrice Rosen, ils évoquent la cathophobie en Europe.
Chaque année, la même scène se répète : crèches de Noël interdites, menaces islamistes et pressions wokistes… Dans une France culturellement catholique, les chrétiens se retrouvent de plus en plus ciblés, placés au cœur des tensions, jusqu’à devenir un marqueur idéologique que certains veulent effacer. Au même moment, le film "Sacré Cœur" explose les compteurs !