Bistro Libertés
Bistro Libertés - Immigration, décadence : Bercoff se lâche
André Bercoff est l’invité spécial d’Eric Morillot. C’est un journaliste de grande renommée et un écrivain très prolixe avec 57 ouvrages écrits ou co-écrits. Son émission sur Sud Radio est très suivie. On le voyait jadis aux côtés de l’intelligentsia de gauche. Il côtoie maintenant Charles Gave, Pierre Cassen et pendant le covid, Christian Perronne ou Alexandra Henrion-Caude. Il a même osé donner la parole à Renaud Camus. Cette ouverture d’esprit lui vaut d’être estampillé "complotiste" par tous les psychorigides du politiquement correct.
Au programme de cette épisode :
1) Douce France, cher pays de mon enfance ? C’était mieux avant : gros mot ou évidence ? Que reste-t-il de la France d’antan ? Comment enrayer la décadence ?
2) Relations internationales : sortons-nous de l’ère post-1945 ? Comment expliquer ce bouleversement ? Qui dominera cette nouvelle donne mondiale ? Quel sera le rôle de la France sur ce nouvel échiquier ?
Bistro Libertés - Andréa Kotarac : son grand saut de LFI au RN
L’invité spécial d’Eric Morillot est Andréa Kotarac qui pour certains est un OVNI politique et pour d’autres un militant courageux dont le parcours politique fait sens.
Il est probablement la seule personne à avoir connu de près à la fois Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen.
Il est peut-être la meilleure personne pour répondre à cette question : le RN est il de gauche ?
Il est accompagné de Pierre-Jean Chalençon, Eric Tegnér, Greg Tabibian et Charbel Lakisse.
Andréa Kotarac a participé à la fondation du Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon en 2008, a été responsable des jeunes pour Mélenchon lors de la campagne présidentielle de 2012 et sera élu au conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes en 2015 à seulement 26 ans.
Fin 2015, il travaille à la fondation de la France insoumise, un mouvement initialement fondé pour rassembler le peuple français face à l’oligarchie. Tenant d’une ligne souverainiste à LFI, la montée des islamo-gauchistes en interne le pousse à partir. Il quitte LFI, rend son mandat et appelle aux européenne de 2019 à voter Jordan Bardella et Marine Le Pen pour résister au rouleau compresseur anti-social de Macron.
Tenant d’une ligne sociale, localiste et environnementale, l’œil affiné sur les relations internationales, on le voit en photo en discussion avec des chefs ou anciens chefs d’Etat, du Niger, de Syrie, de Bosnie, du Liban ou encore de Serbie. Il est le seul porte-parole du RN à ne pas être parlementaire mais il est l’un des plus médiatiques et non des moins influents puisqu’il conseille Marine Le Pen à l’Assemblée nationale.
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