Passé Présent
Le Nouveau Passé-Présent - Chasses à l'homme, massacres et exode : le martyr des pieds-noirs
19 mars 1962, il y a 62 ans jour pour jour, un accord de cessez-le-feu est signé à Évian entre la France et le FLN. Dès le lendemain et dans les mois qui suivirent, l’Algérie est noyée dans un bain de barbarie où les attentats, les fusillades, les assassinats, les représailles se succèdent. Ce sont les cent jours de l’horreur. Cette tragédie, c’est celle du million de pieds-noirs qui n’a plus d’autre choix que de prendre le chemin de l’exil et d’abandonner tout et celle des Harkis qui tentent d’échapper au carnage… sans compter une armée française, déboussolée, soumise à des ordres contradictoires, voire sans ordre du tout…
Passé-Présent reçoit un témoin exceptionnel : Jean-Baptiste Ferracci, à l'époque tout jeune reporter à l'Aurore, qui a assisté à la fusillade de la rue d'Isly, à l'exode vers la métropole et aux massacres d'Oran.
La Revue d'Histoire Européenne : https://bit.ly/3HIZClA
Le Nouveau Passé-Présent avec Gérard Blandin - Sur les pas d'un appelé en Algérie
Passé-Présent évoque une page souvent occultée de notre histoire : celle des appelés du contingent pendant la guerre d’Algérie. Entre 1954 et 1962, plus d’un million et demi de jeunes Français ont été envoyés en Algérie. Plus de 15 000 y ont laissé leur vie. Des dizaines de milliers ont été blessés, ou marqués à jamais. Jean-Marie Glangeaud était l’un d’eux. Un jeune homme ordinaire, gardien à la Bibliothèque nationale, parachutiste de 21 ans, tué en 1958 près de Souk Ahras. À travers son destin, raconté par son neveu Gérard Blandin, dans le livre "Le Crépuscule d’un Brave – Dans les pas d’un appelé en Algérie", (Editions Pierre de Taillac), c’est l’expérience de toute une génération que l’on redécouvre.
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