Le samedi politique

Le Samedi Politique avec Alexis Poulin - Guerre, crises : violence et mensonges d’États

Publiée le 04/02/2023

Depuis 2017, les Français sont maltraités, Emmanuel Macron gouverne contre son peuple. Si son premier quinquennat aura été marqué par la répression des Gilets Jaunes et une privation des libertés inédite, le second est en passe d’entériner un appauvrissement général de la population. Après avoir dilapidé des dizaines de milliards d'euros pour éponger les décisions délirantes prises pendant la crise du Covid-19, le gouvernement en marche s’attaque désormais au système des retraites alors que de plus en plus de Français sont minés par l’explosion des prix de l’énergie et du carburant. Une hausse colossale directement liée à la politique française soumise une idéologie prétendument écologiste qui rejette le nucléaire tout en promouvant compulsivement des véhicules électriques qui ne pourront jamais fonctionner uniquement par le renouvelable. Une illustration du délire des dirigeants européens qui se retrouve également face à la guerre en Ukraine.

En effet, tant dans les trains de sanctions contre la Russie qui s’enchaînent en tirant toujours plus l’UE vers le bas que par les envois d’armes claironnés par l’Occident, les peuples sont toujours les grands perdants de l’histoire, de Kiev à Paris…

Le journaliste et éditorialiste, Alexis Poulin, également co-fondateur du média "Le Monde Moderne" (disponible ici ), revient sur cette souffrance qu’endurent les Européens et en particulier les Français depuis l’arrivée d’une caste de dirigeants hors-sol, biberonnés aux cabinets de conseil et à la corruption à peine camouflée.

Le Samedi Politique avec Didier Maïsto - Guerre, JO, Covid : Macron ou le pouvoir de la peur !

Publiée le 27/04/2024

La France sombre-t-elle petit à petit dans l’autoritarisme ? C’est la question que l’on pourrait se poser à en juger la censure et l’autocensure pratiquées dans les médias du Système comme l’a confessé fièrement Adèle Van Reeth, la patronne de France Inter, il y a quelques jours. De plus en plus, une doxa s’impose et interdit toutes pensées en dehors de la ligne du pouvoir. Aucune critique quant à la politique étrangère sur la question ukrainienne n’est tolérée. Les questions sociétales, à l’image de la GPA, la gestation pour autrui, sont recouvertes d’un halo de bien-pensance et toutes remarques à rebours de la parole unique sera vouée aux gémonies, diabolisée, raillée et caricaturée.

A l’image du verrouillage totale de la parole pendant la période du Covid-19, la chape de plomb s’abat sur la presse et sur les esprits. Emmanuel Macron règne alors en maître diffusant l’unique bonne parole, parsemée de mensonges et de paradoxes, comme l’a encore démontré le discours de la Sorbonne à quelques semaines des élections européennes.

Ceux qui résistent, après avoir été éborgnés et mutilés dans les rues pendant les manifestations de Gilets Jaunes, sont parfois arrêtés chez eux et placés en garde à vue pour des méfaits imaginaires, des adversaires politiques sont convoqués par la justice ou des officines du pouvoir, des voix discordantes sont salies, souillées. 

Tout est fait pour que vous rentriez dans le rang et les Jeux olympiques vont s’illustrer en nouveau test de dressage et de domestication grandeur nature.

Le journaliste et ancien patron de Sud Radio, Didier Maïsto, ne cède rien à l’oppression ambiante. Il décrypte, démonte et dénonce le poids du pouvoir qui accable les libertés individuelles et appelle à un grand sursaut.