Le samedi politique

Le Samedi Politique avec Jean-Philippe Tanguy - Corruption : le scandale qui peut tuer Macron

Publiée le 19/02/2022
A moins de deux mois du scrutin présidentiel, Emmanuel Macron cherche les bonnes nouvelles pour assurer sa popularité. Dans une France marquée par l’autoritarisme et l’austérité sous prétexte sanitaire, le président agite le rachat des turbines nucléaires Arabelle par EDF… Une bonne nouvelle à nuancer très largement. Et pour cause… En 2015, Emmanuel Macron arrive à Bercy. Ministre de l’Economie et des Finances, c’est à lui que revient la validation de la vente de la branche énergie du français Alstom à l’Américain General Electric. Arnaud Montebourg, son prédécesseur n’aura pas voulu signer, Emmanuel Macron le fera sans état d’âme. C’est d’ailleurs une opération visiblement prévue de longue date par celui qui deviendra deux ans plus tard, le président de la République. En effet, Emmanuel Macron s’est directement impliqué dans l’opération très tôt. Dès 2012, alors qu’il est secrétaire général adjoint de l’Elysée chargé des questions économiques et industrielles, une étude commandée en urgence et payée 200 000 euros au cabinet de conseil américain A T Kearney se penche sur les avantages et inconvénients d’un rachat de la branche énergie d’Alstom à GE… Depuis, Emmanuel Macron continue de nier et de mentir sur sa réelle implication dans le scandale qui a coûté l’emploi de plus de 4 000 Français, une perte de savoir-faire et de brevets, et l’effondrement d’une part de notre industrie de pointe stratégique. Spécialiste des questions industrielles, le coordinateur national de l’Avenir Français et membre du Bureau National du RN, Jean-Philippe Tanguy, revient sur une affaire qui fleure bon le scandale d’Etat et le pacte de corruption au service d’Emmanuel Macron depuis près de 10 ans.

Le Samedi Politique avec Xavier Raufer - Macron, échec et mensonges face au terrorisme

Publiée le 15/11/2025

Emmanuel Macron fait feu de tout bois ! 10 ans après les attentats de Paris, au Stade de France, sur les terrasses et au Bataclan, une cérémonie a été organisée pour rendre hommage aux victimes des terroristes. Le président français s’est donné en spectacle, six mois tout juste après avoir reçu en grande pompe le terroriste de l’Etat islamique Mohammed al-Joulani, désormais al-Charaa, dirigeant de la Syrie.

Cet odieux grand écart qui pousse la stratégie du "en même temps" à l’extrême est une nouvelle démonstration de l’incurie du pouvoir, capable de toutes les promesses sans jamais les tenir.

Dix ans plus tard, l’heure des comptes a sonné :

- Les attentats de 2015 pouvaient-ils être évités ?

- Où en est la menace terroriste aujourd’hui ?

Xavier Raufer, éminent criminologue et directeur d’études au CNAM, revient sur ces événements, leurs conséquences et la situation actuelle dans "Le Samedi Politique". Un entretien coup de poing !