Le samedi politique

Le Samedi Politique avec Nicolas Dupont-Aignan - Israël - Palestine : deux États ou la terreur ?

Publiée le 14/10/2023

NB : émission enregistrée le vendredi 13 octobre au matin

Le 7 octobre dernier, Israël est réveillé par une attaque terroriste revendiquée plus tard par le Hamas. Entre les tirs de roquettes et les incursions d’hommes armés, 1 200 personnes sont tuées, on recense plusieurs milliers de blessés et au moins une cinquantaine d'otages. 13 Français au moins ont perdu la vie, 17 sont toujours disparus. Une opération meurtrière inédite par son ampleur, sa gravité et également par la complexité de son organisation.

Tel-Aviv n’a pas tardé à riposter. Après avoir appelé les habitants de la bande de Gaza à fuir, le siège est déclaré, les bombardements ont commencé et des centaines de morts sont déjà à déplorer.

Le monde assiste ainsi à un nouvel embrasement du conflit israélo-palestinien dont chaque épisode semble éloigner encore un peu plus la possibilité d’une paix. La France, démonétisée sur le plan diplomatique, semble avoir rompu avec sa politique gaullienne de voix forte et de non-alignement. Elle ne pèse plus sur la scène internationale mais subit au contraire les conséquences. L’exportation du conflit israélo-palestinien inquiète ainsi jusqu’aux renseignements français et la menace du terrorisme islamiste est toujours présente. Arras vient en donner une triste preuve avec la mort d’un professeur après l’attaque d’un individu tchétchène dans un lycée vendredi.

Nicolas Dupont-Aignan est président de Debout la France et député de l’Essonne. Il ose rappeler la nécessité d’œuvrer pour la paix pour en finir avec le terrorisme, en Israël et ailleurs.  

Le Samedi Politique avec Didier Maïsto - Guerre, JO, Covid : Macron ou le pouvoir de la peur !

Publiée le 27/04/2024

La France sombre-t-elle petit à petit dans l’autoritarisme ? C’est la question que l’on pourrait se poser à en juger la censure et l’autocensure pratiquées dans les médias du Système comme l’a confessé fièrement Adèle Van Reeth, la patronne de France Inter, il y a quelques jours. De plus en plus, une doxa s’impose et interdit toutes pensées en dehors de la ligne du pouvoir. Aucune critique quant à la politique étrangère sur la question ukrainienne n’est tolérée. Les questions sociétales, à l’image de la GPA, la gestation pour autrui, sont recouvertes d’un halo de bien-pensance et toutes remarques à rebours de la parole unique sera vouée aux gémonies, diabolisée, raillée et caricaturée.

A l’image du verrouillage totale de la parole pendant la période du Covid-19, la chape de plomb s’abat sur la presse et sur les esprits. Emmanuel Macron règne alors en maître diffusant l’unique bonne parole, parsemée de mensonges et de paradoxes, comme l’a encore démontré le discours de la Sorbonne à quelques semaines des élections européennes.

Ceux qui résistent, après avoir été éborgnés et mutilés dans les rues pendant les manifestations de Gilets Jaunes, sont parfois arrêtés chez eux et placés en garde à vue pour des méfaits imaginaires, des adversaires politiques sont convoqués par la justice ou des officines du pouvoir, des voix discordantes sont salies, souillées. 

Tout est fait pour que vous rentriez dans le rang et les Jeux olympiques vont s’illustrer en nouveau test de dressage et de domestication grandeur nature.

Le journaliste et ancien patron de Sud Radio, Didier Maïsto, ne cède rien à l’oppression ambiante. Il décrypte, démonte et dénonce le poids du pouvoir qui accable les libertés individuelles et appelle à un grand sursaut.