Le samedi politique
Le Samedi Politique avec Xavier Raufer - Jeffrey Epstein : totem de l'élite pédocriminelle ?
Qui est vraiment Jeffrey Epstein ? Avant de finir suicidé dans une prison surprotégée de New York, l’énigmatique millionnaire a vécu des décennies en totale impunité. Intégré au cœur de l’élite mondialiste, des présidents Clinton, Biden ou Trump, à la reine d’Angleterre en passant par le pape et tout le gratin hollywoodien, Jeffrey Epstein s’est adonné à sa passion criminelle pour les très jeunes filles en corrompant des mineures tirées de leur milieu pauvre pour assouvir ses besoins compulsifs et ceux de ses "amis". Accompagnée de son double féminin, Ghislaine Maxwell et probablement d’un complice français Jean-Luc Brunel, Epstein avait ainsi organisé un véritable réseau de pédocriminalité et probablement de corruption, en compromettant tous ceux qui participaient à ses soirées orgiaques grâce à des photographies et des vidéos capturées aux quatre coins du monde. Financier douteux, il faisait transiter des sommes pharamineuses sur ses comptes en banque de la JP Morgan sans jamais être inquiété sérieusement.
Tous les signaux d’alerte retentissaient, des malversations aux évasions fiscales en passant par la corruption de mineurs. Pourtant, les autorités ont mis des années à emprisonner Epstein, lequel bénéficiait toujours de ses amitiés haut placées… Un mystère qui jette l’opprobre sur les mœurs d’une partie des élites internationales.
Au gré d’une enquête fouillée, documentée et décryptée, Jeffrey Epstein, L’âme damnée de la IIIème culture Editions du Cerf (disponible ici https://boutiquetvl.fr/societe/xavier-raufer-jeffrey-epstein-l-ame-damnee-de-la-iiie-culture ), le criminologue Xavier Raufer revient sur les pratiques criminelles de Jeffrey Epstein mais aussi sur le Système qui l’entourait pour le protéger et… se protéger.
Le Samedi Politique avec Pierre-Yves Rougeyron - Géopolitique : l’impasse occidentale
Le monde se fissure de plus en plus. Après la guerre en Ukraine, c’est désormais le conflit israélo-palestinien, entre Tel-Aviv et le Hamas, qui jette de l’huile sur le feu des relations internationales. Alors que les BRICS prennent toujours plus d’ampleur et de poids diplomatiques, l’Occident prêche désormais un peu dans le désert, campé sur ses positions obsessionnelles telles les droits de l’homme… le tout en pratiquant assidument les doubles standards.
Dans ce cadre, la mayonnaise ne prend plus et la riposte d’Israël est vivement critiquée par les pays dudit Sud Global dans la mesure où elle fait de nombreuses victimes parmi les civils et particulièrement les enfants. Ursula von der Leyen, littéralement émancipée des cadres européens, s’est quant à elle arrogée le droit de mettre de l’huile sur le feu sans provoquer toutefois de réaction des Etats membres. Et pour cause : tous sont frappés d’apathie.
La France, qui se distinguait naguère par une politique arabe propre et reconnue dans le monde, est désormais discréditée par les renversements permanents d’Emmanuel Macron, tiraillé autant par la crainte de l’embrasement à domicile que par la colère israélienne. Seuls les Etats-Unis, malgré un président au bord de la sénilité, continuent de dicter leur conduite aux pays de l’UE, comme s’ils envoyaient des cerbères muselés sur des cibles.
Pierre-Yves Rougeyron, le président du cercle Aristote, décrypte le dossier israélo-arabe et démontre comment la théorie d’un monde bipolaire avec BRICS et Occident face à face n’est qu’une vision simpliste qui fait fi des relations interétatiques et des mouvements de chacun des acteurs internationaux, à l’image de la récente élection en Argentine de Javier Milei, qui pourrait refaire basculer le pays du côté des Etats-Unis. Une émission complexe, qui combat les raccourcis.
Connexion
Afin d'utiliser cette fonctionnalité, vous devez vous connecter :