Le samedi politique

Le Samedi Politique avec Xavier Raufer - Jeffrey Epstein : totem de l'élite pédocriminelle ?

Publiée le 27/10/2023

Qui est vraiment Jeffrey Epstein ? Avant de finir suicidé dans une prison surprotégée de New York, l’énigmatique millionnaire a vécu des décennies en totale impunité. Intégré au cœur de l’élite mondialiste, des présidents Clinton, Biden ou Trump, à la reine d’Angleterre en passant par le pape et tout le gratin hollywoodien, Jeffrey Epstein s’est adonné à sa passion criminelle pour les très jeunes filles en corrompant des mineures tirées de leur milieu pauvre pour assouvir ses besoins compulsifs et ceux de ses "amis". Accompagnée de son double féminin, Ghislaine Maxwell et probablement d’un complice français Jean-Luc Brunel, Epstein avait ainsi organisé un véritable réseau de pédocriminalité et probablement de corruption, en compromettant tous ceux qui participaient à ses soirées orgiaques grâce à des photographies et des vidéos capturées aux quatre coins du monde. Financier douteux, il faisait transiter des sommes pharamineuses sur ses comptes en banque de la JP Morgan sans jamais être inquiété sérieusement.

Tous les signaux d’alerte retentissaient, des malversations aux évasions fiscales en passant par la corruption de mineurs. Pourtant, les autorités ont mis des années à emprisonner Epstein, lequel bénéficiait toujours de ses amitiés haut placées… Un mystère qui jette l’opprobre sur les mœurs d’une partie des élites internationales.

Au gré d’une enquête fouillée, documentée et décryptée, Jeffrey Epstein, L’âme damnée de la IIIème culture Editions du Cerf (disponible ici https://boutiquetvl.fr/societe/xavier-raufer-jeffrey-epstein-l-ame-damnee-de-la-iiie-culture ), le criminologue Xavier Raufer revient sur les pratiques criminelles de Jeffrey Epstein mais aussi sur le Système qui l’entourait pour le protéger et… se protéger.

Le Samedi Politique avec Didier Maïsto - Guerre, JO, Covid : Macron ou le pouvoir de la peur !

Publiée le 27/04/2024

La France sombre-t-elle petit à petit dans l’autoritarisme ? C’est la question que l’on pourrait se poser à en juger la censure et l’autocensure pratiquées dans les médias du Système comme l’a confessé fièrement Adèle Van Reeth, la patronne de France Inter, il y a quelques jours. De plus en plus, une doxa s’impose et interdit toutes pensées en dehors de la ligne du pouvoir. Aucune critique quant à la politique étrangère sur la question ukrainienne n’est tolérée. Les questions sociétales, à l’image de la GPA, la gestation pour autrui, sont recouvertes d’un halo de bien-pensance et toutes remarques à rebours de la parole unique sera vouée aux gémonies, diabolisée, raillée et caricaturée.

A l’image du verrouillage totale de la parole pendant la période du Covid-19, la chape de plomb s’abat sur la presse et sur les esprits. Emmanuel Macron règne alors en maître diffusant l’unique bonne parole, parsemée de mensonges et de paradoxes, comme l’a encore démontré le discours de la Sorbonne à quelques semaines des élections européennes.

Ceux qui résistent, après avoir été éborgnés et mutilés dans les rues pendant les manifestations de Gilets Jaunes, sont parfois arrêtés chez eux et placés en garde à vue pour des méfaits imaginaires, des adversaires politiques sont convoqués par la justice ou des officines du pouvoir, des voix discordantes sont salies, souillées. 

Tout est fait pour que vous rentriez dans le rang et les Jeux olympiques vont s’illustrer en nouveau test de dressage et de domestication grandeur nature.

Le journaliste et ancien patron de Sud Radio, Didier Maïsto, ne cède rien à l’oppression ambiante. Il décrypte, démonte et dénonce le poids du pouvoir qui accable les libertés individuelles et appelle à un grand sursaut.