Bistro Libertés
Législatives : Le Grand Débrief de Bistro Libertés avec André Bercoff
L’invité spécial d’Éric Morillot est André Bercoff. C’est un journaliste de grande renommée. Sa vie est jalonnée de grande collaboration avec des grands noms de la presse. Il triomphe sur Sud Radio et TVL où ses deux derniers "Bistro Libertés" totalisent plus d’un million de vue ! Qui mieux que lui peut nous éclairer sur les résultats de ces législatives.
C’est un homme en colère que l’on a ce soir, et qui a beaucoup de chose à nous dire. Il est entouré par les sociétaires : Anaïs (porte-parole de Némésis), Jeremy Marquie, Myriam Palomba et Romain Maréchal.
Au programme de cette émission spéciale "Le Grand Débrief" :
1) Comment expliquer la victoire de la gauche et du centre ? Cette alliance peut-elle durer ? Faut-il craindre un gouvernement du Nouveau Front populaire ?
2) Peut-on encore croire que le RN prendra un jour le pouvoir ? Qu’est-ce que cela dit de la démocratie et de la démographie française ? Emmanuel Macron a-t-il réussi son pari ?
Bistro Libertés - Steven Gunnell : de chanteur à cinéaste
Pour cet épisode de "Bistro Libertés", Éric Morillot a invité le couple de réalisateurs du film "Sacré Cœur : son règne n’a pas de fin", dont la campagne publicitaire a été censurée par la RATP et la SNCF.
Toute la gauche wokiste est vent debout contre ce film dénoncé comme "prosélyte", qui porte sur les apparitions de Jésus à sainte Marguerite-Marie Alacoque, il y a 350 ans. Il s'ensuit une déprogrammation du film dans certaines salles. Cela n’empêche pas le film de franchir en un mois la barre des 500 000 téléspectateurs.
Lui est l’ancien chanteur du "boys band" Alliage. Avec des ventes qui dépassent à chaque fois les 500 000 unités, le groupe connaît le succès de 1997 à 1999. Puis arrive son "bug" de l’an 2000 avec un passage du statut de star à celui d’ange déchu avec à la clé la dépendance à l’alcool, la dépression et la misère. Un tournant tout relatif puisqu’il se convertit en 2000 dans l’église sainte Rita de Nice. Il est vrai que sainte Rita est la patronne des causes désespérées.
Six ans plus tard, Robert Hossein lui confie le rôle de Jésus dans "Ben Hur", puis celui de Jean-Paul II dans "N’ayez pas peur". Au même moment, Sabrina se remet d’une rupture amoureuse très difficile. Ils ont un coup de foudre et se marient dans la vie privée mais aussi dans le travail puisqu’ils fondent une société de production et réalisent des films documentaires pour KTO.
Avec Frigide Barjot, Charbel Lakis et Béatrice Rosen, ils évoquent la cathophobie en Europe.
Chaque année, la même scène se répète : crèches de Noël interdites, menaces islamistes et pressions wokistes… Dans une France culturellement catholique, les chrétiens se retrouvent de plus en plus ciblés, placés au cœur des tensions, jusqu’à devenir un marqueur idéologique que certains veulent effacer. Au même moment, le film "Sacré Cœur" explose les compteurs !
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