Politique Eco
Politique & Eco avec Charles-Henri Gallois - Barnier : la recette de la ruine ?
Après avoir mis la France en faillite, l'Etat obèse va mettre les Français à genoux ! Emmanuel Macron et Bruno Le Maire laissent derrière eux 950 milliards d'euros de dette, autant en 7 ans qu'en 53 ans ! Avec le pire ratio dette/PIB d'Europe : les Gilets Jaunes, le covid et l'explosion du prix de l'énergie ont montré comment ils ont su gérer les crises. L'effort budgétaire va maintenant devoir être supporté par des classes moyennes déjà étouffés par des prélèvements obligatoires à 48%, record mondial. Les Français ont-ils envie de se serrer la ceinture alors que les dépenses publiques vont encore augmenter de plus de 2% l'an prochain ? Le projet de loi de finances en débat à l'Assemblée nationale prévoit 60 milliards d'euros d'économies pour éponger un déficit cette année à 6%. Un déficit excessif pourtant annoncé dans une note du Trésor public à l'automne 2023 mais gardée confidentielle et cela en violation de la loi organique par l'ancien ministre de l'Economie. Une commission d'enquête parlementaire tentera de faire la lumière sur cette affaire avec le témoignage d'un Bruno Le Maire parti s'exiler en Suisse. Qu'en sortira-t-il : une condamnation pénale ? Qui peut croire que Bruno Le Maire aurait été malhonnête... ? "La vérité apparaitra plus tard" a-t-il clamé à la presse.
L'invité de "Politique & Eco", Charles-Henri Gallois, président du parti "Reprenons le contrôle", dénonce le bilan misérable d'un chef de l'Etat aux abois, la dissimulation des comptes publics au plus haut niveau de l'Etat et leur rétablissement à coup de matraquage fiscal et encore semble-t-il de 49-3. Soucieux de l'avenir des Français, il propose pas moins de 150 milliards d'euros d'économies qui ne leur couteraient rien !
Nouveauté : à la suite de cet entretien, vous pouvez retrouver la chronique économique et financière de Philippe Béchade qui annonce, comme en 2010 avec la Grèce, que le FMI fait pression sur la France...
Politique & Eco avec Pierre Jovanovic - 2008 : Le hold-up bancaire comme solution à la crise
Privatisation des profits, socialisation des pertes... Qui sont les vrais responsables ? Tout a commencé en 2008 mais rien n’est fini, l’économie est toujours sous l’emprise des effets de cette funeste année et des pratiques du système qui y ont conduit. Une arrière-cuisine de l’entre-soi bancaire et de l’Etat profond. La crise a débuté, comme d’habitude, outre-Atlantique et le degré de dépendance de l’économie mondiale aux Etats-Unis en fera une crise mondiale. La cause de ce désastre étant la fameuse crise des subprimes. Celle-ci devait se limiter strictement aux banques américaines, selon Alain Minc, constant dans l’art de formuler des professions foireuses.
Mais la question se pose : peut-on croire que des prêts incertains accordés à des ménages peu solvables soient la seule explication ? De surcroit ces prêts étaient garantis par des organismes proches de l’Etat (Fanny Mae et Freddy Mac) ou bien appuyés sur un CDS (Credit Default Swap), une assurance qui remboursait le prêteur à la place du ménage, produit titrisé éminemment toxique. Ces prêts accordés avec une intention sociale au bénéfice de minorités ethniques sont-ils la cause de la crise mondiale ?
Le président de Goldman Sachs, Hank Paulson, sera nommé secrétaire au trésor par George Bush et c’est lui qui va organiser, le hold-up sur les ménages et la plus grande vague de pauvreté qui s’en suivra.
Pierre Jovanovic, journaliste financier, lève le voile sur l'un des plus grands scandales financiers de l'histoire du capitalisme dans son ouvrage "2008" publié aux Jardin des Livres.
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