Politique Eco
Politique & Eco n°212 : La dette, les banques et la création monétaire : petit voyage en absurdie
1) La dette française... UBU roi
- Absurdité et opacité des chiffres officiels - Les dettes cachées - Quand la France rembourse ses emprunts avec... des emprunts - Le coût annuel, intérêts et principal 166 Milliards - La cavalerie, pratique interdite sauf à l’état. - Les deux thèses sur la dette : pour les uns ce n’est pas grave, pour les autres, c’est la sécession de paiement à terme - La crise des Gilets Jaunes, conséquence directe de l’endettement - Les dettes Allemandes au XXe siècle, elles ne furent jamais payées - Le traité de Londres en 1953 supprime 62% de la dette allemande - Le % de la dette française détenu à l’étranger : 53% - Le curieux bilan de la Banque de France genre usine à gaz : comment ont été financés les 600 milliards de titre détenus par elle ? - Les Français ne connaissent pas vraiment ce qu’ils doivent2) De la dette aux banques
- D’autres dettes encore, les garanties d’Etat et les partenariats privé/ public, contre un loyer de financement - Autoroutes et péages, les Gilets Jaunes instinctivement comprennent le jeu - Autres dettes possibles, les banques en situation difficile, comme en Grèce à Chypre, en Italie - L’Etat devra-t-il comme en 2008 porter la main à la poche pour sauver des banques ? - Le cas de la BNP, première banque européenne, un total des actifs supérieur au PIB français - Le non respect des règles prudentielles, le leverage soit en bon français, le multiple d’endettement doit inférieur à 10 - Ces banques qui sont montées à 40, aux USA la sanction Lehman Brothers, en France elles demeurent à un niveau trop élevé - Quelle autorité pour quelle sanction, les banques font la loi. - Les allers-retours public/privé à la française.3) La création monétaire, quand certains se prennent pour Dieu
- Une citation de Lloyd Blankfein, patron de Goldman Sachs - Circulation n’est pas création à condition de respecter le multiple d’endettement - Sinon : croissance de la masse monétaire et catastrophes afférentes, hyper inflation (Allemagne 1922), bulles spéculatives (2008) etc - Relation inverse : monnaie / croissance - L’exemple de Böhm-Bawerck - Que penser du scénario furtif de sortie de l’Allemagne de l’euro ? - L’intérêt des Allemands à rester dans l’euro, le mark risquerait d’enchérir et de pénaliser le mercantilisme allemand - La dévaluation est-elle une défaite ? - La variable d’ajustement dans l’euro, c’est l’emploi - Quelques scénarii de survenue de la crise - Les solutions radicales (article 16) ne seront pas appliquéesConclusion : un avenir peu engageant mais déjà engagé et même gagé
Politique & Eco avec Pierre Jovanovic - Terrorisme bancaire, TVL, Trump, Israël
L'administration américaine a révélé que l'équipe de Joe Biden avait expressément demandé aux banques de "débancariser" Donald Trump pour l'empêcher de se présenter aux élections.
En France, TVL et Marc Touati ont vu leur compte bancaire bloqué. En Israël, la mairie de Jérusalem a bloqué les comptes de l'église orthodoxe grecque et de son patriarche Theophilos III.
Et pendant ce temps, Larry Fink a été nommé co-président du Forum économique de Davos (avec le milliardaire suisse André Hoffman) en remplacement du PDG intérimaire de Nestlé Peter Brabeck (proche de Macron) embarqué dans le méga scandale des eaux polluées Perrier !
- La défaite de l'Europe face à Trump
Donald Trump a roulé l’Europe dans la farine avec son chantage sur les taxes. Dans une interview sur Fox-News, le Secrétaire au Trésor américain a enfin dit haut et fort : "les alliés des Etats-Unis ne sont ni plus ni moins que ses esclaves économiques, et qu’il fallait les voler en plein jour".
- La logique des bas salaires
En soutenant uniquement les bas salaires, la France charge depuis 30 ans la barque des managers. Un choix qu'elle paye aujourd'hui au prix fort.
Le taux que la France est obligée de payer sur ses obligations a grimpé et met le pays inévitablement en banqueroute, comme le démontre Jean-Pierre Chevallier par son discours alarmiste : Bayrou a fait perdre 20 milliards € aux trois principales banques françaises.
- La France est à l'arrête à cause de la pauvreté
Les Français boudent les restaurants et les hôtels sont vides en pleine période de vacances et Amélie de Montchalin veut massacrer les retraites.
Et pour conclure, l’inflation n’est pas derrière nous. La vraie inflation mesurée par l’augmentation du timbre-poste.
A la suite de "Politique & Eco", retrouvez la chronique financière de Philippe Béchade intitulée :"Le marché a trouvé son tondeur : Lecornu".
Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora.
Pour télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade, cliquez ici.
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