Politique Eco

Politique & Eco n°295 avec Jean-François Auzolle : Qui veut la peau d’EDF ?

Publiée le 12/04/2021
L’histoire de l’EDF se divise en trois parties : 1. Le temps de la croissance et du succès (1945 - 1980) 2. Les années du doute et les erreurs stratégiques (1980 - 2000) 3. A partir du début du XXI° siècle, EDF est à la fois entrée dans les déficits et les incertitudes, au surplus menacée, au motif de ces difficultés, d’être découpée par l’UE avec la complicité de la classe politique française. Depuis 1945 et jusqu’aux années 80, l’entreprise française connut des heures de gloire, une grande prospérité, financée par les emprunts internationaux et des progrès techniques importants dans le nucléaire principalement qui fit de la France un pays indépendant et sûr. Puis les années de doute et d’erreur vinrent avec l’abandon du surgénérateur, les mécomptes d’Areva et la lenteur de réalisation des EPR. Et voilà maintenant que l’UE veut découper l’entreprise en trois morceau, bleu, vert et azur, et introduire des modes de gestion à l’anglo-saxonne, y compris pour l’eau dont le rôle est décisif dans l’activité des centrales. Jean-François Auzolle, ingénieur de l’école Centrale Paris, nous fait avec passion, la fresque historique et technologique d'un fleuron français victime du mondialisme.

Politique & Eco avec François Dubois – "Captionem" : les expérimentations de l’Etat profond

Publiée le 14/04/2025

François Dubois est un ancien militaire de la Gendarmerie nationale, officier de police judiciaire, instructeur et formateur de formateurs au sein des écoles de gendarmerie. Après avoir été évincé de l’Education nationale en raison de ses prises de positions, il est aujourd’hui vice-président de l’association « Profession Gendarme » dont le site internet réalise plus de dix millions de vues par an. Passionné par l’étude des grands mouvements sociétaux, historiques et géopolitiques, il s’est spécialisé dans l’analyse des méthodes de gouvernance et d’ingénierie sociale. Auteur engagé, il a publié deux ouvrages percutants et profondément réflexifs : "Alice au pays de Lucifer" (KA Éditions) et "Captionem" (The Book Edition). 

CAPTIONEM : Une cité, une technologie, un totalitarisme François Dubois, avec talent, prolonge, par son roman, Huxley et Orwell. Le terme captionem est l’accusatif singulier du nom féminin captio en latin, que l’on peut traduire en français par piège, duperie, tromperie, ou encore sophisme. Mystérieusement traquée par des assassins, une jeune femme trouve par hasard refuge dans une ville surgie de nulle part : Captionem. Mais ce sanctuaire n’est qu’un mirage. Cette cité-laboratoire, dissimulée aux yeux du monde, est le terrain d’expérimentation de l’État profond, où s’affinent dans l’ombre les méthodes de gouvernance de demain. Ici, intelligence artificielle et dématérialisation intégrale orchestrent un contrôle absolu, réduisant chaque habitant à un rouage d’un totalitarisme invisible. L’exilée comprend bientôt que son salut n’était qu’une illusion et qu’elle est désormais prisonnière. Piégée dans ce cauchemar où tout n’est que surveillance, une question la hante : comment échapper à ce monde dystopique ? 

A la suite de "Politique & Eco", retrouvez la chronique financière de Philippe Béchade intitulée : "Trump et les marchés : une confiance brisée". Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora. Pour télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade, cliquez ici.