Politique Eco

Politique & Eco n°316 avec Charles Gave : Virons le parti de l'étranger !

Publiée le 18/10/2021
Une série de médias a décidé de s’intéresser à Charles Gave : BFM, Libération, Le Point, l’Express, pas toujours en termes flatteurs. Politique & Eco a voulu en savoir plus en compagnie de l’intéressé. Son péché ? Le soutien qu’il apporte à Eric Zemmour. Le voilà donc à la fois ultra libéral et d’extrême droite, financier sulfureux, catholique intégriste, souverainiste et internationaliste, identitaire et disciple de Milton Friedman... les journalistes ne s’embarrassent guère des contradictions. Pour leur monde, un financier ne peut être qu’une crapule (sauf quand il finance leurs journaux sans quoi ils n’existeraient pas). Tout ceci semble indiquer un simplisme lourdaud chez ceux qui sont chargés d’informer les autres. Charles Gave se veut être l’honnête homme du XVIIème siècle, c'est-à-dire "un homme qui essaye de rendre à la société plus qu’il n’a reçu en naissant". L’entretien porte, en première partie, sur les analyses de la situation économique, la dette, le QE, le budget, le commerce extérieur français, l’Europe de Bruxelles pour laquelle Charles Gave préconise plus un Bruxit qu’un Frexit. La seconde partie porte sur l’ébauche d’un programme économique et politique pour le potentiel candidat Zemmour "pour combiner harmonieusement le travail disponible dans un pays avec l’épargne que nos ancêtres nous ont légué". Et les raisons du soutien à Eric Zemmour : 1. Il aime notre pays de façon déraisonnable. 2. Il a un courage fou, et le courage est, d’après Napoléon, la seule vertu que l’on ne peut mimer. 3. Il veut défendre la souveraineté et l’identité de la France. L’entretien se termine sur une note sportive, le rachat du BOPB, le club de rugby de Biarritz car : "Je ne pouvais imaginer que le BO monument du rugby français disparaisse". Une danseuse ? Non répond Charles Gave : "un corps de ballet !"

Politique & Eco avec François Dubois – "Captionem" : les expérimentations de l’Etat profond

Publiée le 14/04/2025

François Dubois est un ancien militaire de la Gendarmerie nationale, officier de police judiciaire, instructeur et formateur de formateurs au sein des écoles de gendarmerie. Après avoir été évincé de l’Education nationale en raison de ses prises de positions, il est aujourd’hui vice-président de l’association « Profession Gendarme » dont le site internet réalise plus de dix millions de vues par an. Passionné par l’étude des grands mouvements sociétaux, historiques et géopolitiques, il s’est spécialisé dans l’analyse des méthodes de gouvernance et d’ingénierie sociale. Auteur engagé, il a publié deux ouvrages percutants et profondément réflexifs : "Alice au pays de Lucifer" (KA Éditions) et "Captionem" (The Book Edition). 

CAPTIONEM : Une cité, une technologie, un totalitarisme François Dubois, avec talent, prolonge, par son roman, Huxley et Orwell. Le terme captionem est l’accusatif singulier du nom féminin captio en latin, que l’on peut traduire en français par piège, duperie, tromperie, ou encore sophisme. Mystérieusement traquée par des assassins, une jeune femme trouve par hasard refuge dans une ville surgie de nulle part : Captionem. Mais ce sanctuaire n’est qu’un mirage. Cette cité-laboratoire, dissimulée aux yeux du monde, est le terrain d’expérimentation de l’État profond, où s’affinent dans l’ombre les méthodes de gouvernance de demain. Ici, intelligence artificielle et dématérialisation intégrale orchestrent un contrôle absolu, réduisant chaque habitant à un rouage d’un totalitarisme invisible. L’exilée comprend bientôt que son salut n’était qu’une illusion et qu’elle est désormais prisonnière. Piégée dans ce cauchemar où tout n’est que surveillance, une question la hante : comment échapper à ce monde dystopique ? 

A la suite de "Politique & Eco", retrouvez la chronique financière de Philippe Béchade intitulée : "Trump et les marchés : une confiance brisée". Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora. Pour télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade, cliquez ici.