Politique Eco
Politique & Eco n°331 avec Eloïse Benhammou - Explosion de la dette sociale : à qui profite le crime ?
Sécurité sociale : après le covid, l’heure des comptes a sonné
Avec la forte augmentation du nombre de dépistage du covid, 1 milliard pour le seul mois de décembre 2021, le gouvernement a revu la dépense à la hausse de 6 milliards d'euros. La CADES, Caisse d’amortissement de la dette sociale, va devoir retourner sur les marchés par l’intermédiaire des banques, ce qui implique des commissions payées par les cotisations sociales. Il s’agit de financer les dettes passées et à venir contrairement à la loi qui stipulait qu’elle ne devait financer que les dettes passées. La dette sociale venant s’ajouter à la dette de l’Etat qui représente déjà 116% du PIB. Après les déclarations de Martin Hirsch sur les non vaccinés qui ne devraient pas être remboursés, faut-il aller vers la logique assurancielle (on paye en fonction du risque) ou conserver la logique solidaire actuelle ? Quelles sont les forces qui ont intérêt au changement ?La fin du Libor, une information méconnue
Le Libor (London Interbank Offered Rate) a cessé d’être utilisé au 31 décembre, mettant en jeu la stabilité du système financier mondial. Une sorte de grande réinitialisation au moment où le niveau d’endettement global a explosé à cause des choix de gestion de la crise sanitaire. Cette information est passée inaperçue alors que 300 trillions d’encours sont susceptibles d’être impactés par les changements de taux. De la dette de la Sécurité sociale, aux hypothèques, aux dettes des collectivités ou des entreprises, l’impact sera forcément systémique. 10 milliards de dollars, c’est l'amende très salée que la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) vient d’infliger à de nombreuses banques internationales. Elles ont manipulé pendant des années les taux Libor, afin de générer des profits colossaux.Politique & Eco avec François Asselineau (UPR) - Israël/Iran : Trump devenu va-t-en-guerre ?
Donald Trump a tranché ! Huit jours après le lancement de l'opération israélienne "Rising lion" avec l'envoi de missiles sur l'Iran et la riposte de Téhéran, le président des Etats-Unis a finalement bombardé des installations nucléaires de la nation perse samedi 21 juin, leur infligeant "des dégâts monumentaux". Alors que la Chine alerte sur le risque de propagation du conflit, les autorités de Téhéran affirment détenir encore des stocks d'uranium enrichi.
François Asselineau, président de l'UPR, revient sur les origines et les conséquences d'une guerre qui peut dégénérer à tout instant :
- Quel est le rapport de forces entre Israël et l'Iran ?
- L'Iran est-elle seule dans ce conflit ?
- La suprématie d'Israël est-elle malgré tout en déclin ?
- Où en est la relation USA-Israël ?
Une émission enregistrée le mercredi 18 juin, soit avant l'attaque américaine sur les installations nucléaires iraniennes...
A la suite de "Politique & Eco", retrouvez la chronique financière de Philippe Béchade intitulée :"La guerre va coûter cher aux Français".
Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora.
Pour télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade, cliquez ici
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