Bistro Libertés
Bistro Libertés - Daniel Guichard : un anti-woke de choc !
Daniel Guichard n’est pas seulement un chanteur à succès, il est une voix qui compte pour dénoncer la désinformation par les médias du Système. Sur le plateau de "Bistro Libertés", Daniel Guichard chante, blague et nous alerte solennellement sur les grands dangers qui pèsent sur les Français. On l’a beaucoup entendu au moment du Covid sur les restrictions des libertés. La revendication de son origine ouvrière plait à la France populaire, celle des Gilets Jaunes qu’il a soutenu sur les ronds-points. Son père breton décède alors qu’il n’a seulement que 15 ans. C’est certainement pour cette raison qu’il composera "Mon vieux", sa chanson la plus touchante et célèbre. Sa mère est une femme de l’Est avec du sang polonais, russe et ukrainien. Inutile de dire donc à quel point le conflit actuelle le touche particulièrement.
Au programme de cet épisode mémorable :
1) Eurovision : un fiasco ?
2) Le populisme au secours de la démocratie ? Nos élites sont-elles encore françaises ? Comment mettre fin à la déconnexion entre peuple et élites ? Le festival de Cannes, symbole de ce décalage ?
3) Souveraineté française contre souveraineté européenne : rendez-vous le 9 juin ? Que faut-il attendre des élections européennes ? Quelles leçons faut-il tirer du Brexit ? Quel avenir pour l’Europe et la France dans l'Union européenne ?
Bistro Libertés - Steven Gunnell : de chanteur à cinéaste
Pour cet épisode de "Bistro Libertés", Éric Morillot a invité le couple de réalisateurs du film "Sacré Cœur : son règne n’a pas de fin", dont la campagne publicitaire a été censurée par la RATP et la SNCF.
Toute la gauche wokiste est vent debout contre ce film dénoncé comme "prosélyte", qui porte sur les apparitions de Jésus à sainte Marguerite-Marie Alacoque, il y a 350 ans. Il s'ensuit une déprogrammation du film dans certaines salles. Cela n’empêche pas le film de franchir en un mois la barre des 500 000 téléspectateurs.
Lui est l’ancien chanteur du "boys band" Alliage. Avec des ventes qui dépassent à chaque fois les 500 000 unités, le groupe connaît le succès de 1997 à 1999. Puis arrive son "bug" de l’an 2000 avec un passage du statut de star à celui d’ange déchu avec à la clé la dépendance à l’alcool, la dépression et la misère. Un tournant tout relatif puisqu’il se convertit en 2000 dans l’église sainte Rita de Nice. Il est vrai que sainte Rita est la patronne des causes désespérées.
Six ans plus tard, Robert Hossein lui confie le rôle de Jésus dans "Ben Hur", puis celui de Jean-Paul II dans "N’ayez pas peur". Au même moment, Sabrina se remet d’une rupture amoureuse très difficile. Ils ont un coup de foudre et se marient dans la vie privée mais aussi dans le travail puisqu’ils fondent une société de production et réalisent des films documentaires pour KTO.
Avec Frigide Barjot, Charbel Lakis et Béatrice Rosen, ils évoquent la cathophobie en Europe.
Chaque année, la même scène se répète : crèches de Noël interdites, menaces islamistes et pressions wokistes… Dans une France culturellement catholique, les chrétiens se retrouvent de plus en plus ciblés, placés au cœur des tensions, jusqu’à devenir un marqueur idéologique que certains veulent effacer. Au même moment, le film "Sacré Cœur" explose les compteurs !
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