Le samedi politique
Le Samedi Politique avec Gérald Olivier - Les Biden, un clan au cœur de l’échiquier mondial
Après une arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche frappée par les accusations de fraudes électorales, les Américains retourneront aux urnes dans un an. Alors que l’ancien président Donald Trump ne compte plus les poursuites dont il fait l’objet, Joe Biden et le plus sulfureux de ses fils Hunter Biden sont quant à eux étonnamment épargnés par la justice américaine et les médias du Système.
C’est ce qu’analyse l’ouvrage du journaliste spécialiste des Etats-Unis, Gérald Olivier, "Cover Up - Le clan Biden, l’Amérique et l’Etat Profond" aux éditions Konfident (disponible ici https://boutiquetvl.fr/geopolitique/gerald-olivier-cover-up-le-clan-biden-l-amerique-et-l-etat-profond ).
L’occasion de se projeter dans la course à la Maison Blanche des prochains mois en dressant un bilan de l’Amérique après 4 années de Joe Biden, entre fractures sociale et sociétale, et déroute économique. Gérald Olivier nous expliquera également quelles implications la réélection de Biden ou de Donald Trump, galvanisé pour remporter la primaire des Républicains, aura sur la scène internationale, du théâtre ukrainien au conflit israélo-palestinien en passant par les questions asiatiques.
Le Samedi Politique avec Pierre-Yves Rougeyron - Géopolitique : l’impasse occidentale
Le monde se fissure de plus en plus. Après la guerre en Ukraine, c’est désormais le conflit israélo-palestinien, entre Tel-Aviv et le Hamas, qui jette de l’huile sur le feu des relations internationales. Alors que les BRICS prennent toujours plus d’ampleur et de poids diplomatiques, l’Occident prêche désormais un peu dans le désert, campé sur ses positions obsessionnelles telles les droits de l’homme… le tout en pratiquant assidument les doubles standards.
Dans ce cadre, la mayonnaise ne prend plus et la riposte d’Israël est vivement critiquée par les pays dudit Sud Global dans la mesure où elle fait de nombreuses victimes parmi les civils et particulièrement les enfants. Ursula von der Leyen, littéralement émancipée des cadres européens, s’est quant à elle arrogée le droit de mettre de l’huile sur le feu sans provoquer toutefois de réaction des Etats membres. Et pour cause : tous sont frappés d’apathie.
La France, qui se distinguait naguère par une politique arabe propre et reconnue dans le monde, est désormais discréditée par les renversements permanents d’Emmanuel Macron, tiraillé autant par la crainte de l’embrasement à domicile que par la colère israélienne. Seuls les Etats-Unis, malgré un président au bord de la sénilité, continuent de dicter leur conduite aux pays de l’UE, comme s’ils envoyaient des cerbères muselés sur des cibles.
Pierre-Yves Rougeyron, le président du cercle Aristote, décrypte le dossier israélo-arabe et démontre comment la théorie d’un monde bipolaire avec BRICS et Occident face à face n’est qu’une vision simpliste qui fait fi des relations interétatiques et des mouvements de chacun des acteurs internationaux, à l’image de la récente élection en Argentine de Javier Milei, qui pourrait refaire basculer le pays du côté des Etats-Unis. Une émission complexe, qui combat les raccourcis.
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