Le samedi politique

Le Samedi Politique avec Gérald Olivier - Qui gouverne les Etats-Unis ?

Publiée le 15/07/2023

Joe Biden enchaîne les sorties de piste. Le président des Etats-Unis se perd dans les jardins de la Maison Blanche, oublie le nom de ses enfants, confond l’Ukraine et l’Irak, se contredit… A cela s’ajoutent les soupçons qui portent sur son fils, Hunter Biden. En plus d’une évidente consommation de stupéfiants, le fils du président pourrait être au cœur d’un système de corruption de mineurs et de trafic d’influence qui toucherait possiblement toute la famille Biden.

Malgré la gravité des faits et l’évidence des failles de Joe Biden, les médias américains peinent à relater la criante vérité. A l’inverse, ils ne se font pas prier pour agiter les diverses inculpations de Donald Trump. L’ancien président semble toutefois avoir encore des ressources pour mener le combat de 2024 dans 18 mois et tenter de récupérer la présidence face à son adversaire.

Gérald Olivier, chercheur associé à l’Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE), journaliste spécialiste de la politique américaine et auteur de "Sur la route de la Maison Blanche - Le dictionnaire des élections présidentielles américaines", aux éditions Jean Picollec (un livre toujours disponible sur notre boutique ici https://boutiquetvl.fr/tous-les-livres/gerald-olivier-sur-la-route-de-la-maison-blanche), revient en détail sur la politique américaine, les scandales autour d’Hunter Biden, la réalité de la "présidence" Biden et la puissance de son entourage. Il décrypte également la popularité de Donald Trump au sein des Républicains… De quoi assurer des primaires et une présidentielle pleine de rebondissements.

Le Samedi Politique avec Didier Maïsto - Guerre, JO, Covid : Macron ou le pouvoir de la peur !

Publiée le 27/04/2024

La France sombre-t-elle petit à petit dans l’autoritarisme ? C’est la question que l’on pourrait se poser à en juger la censure et l’autocensure pratiquées dans les médias du Système comme l’a confessé fièrement Adèle Van Reeth, la patronne de France Inter, il y a quelques jours. De plus en plus, une doxa s’impose et interdit toutes pensées en dehors de la ligne du pouvoir. Aucune critique quant à la politique étrangère sur la question ukrainienne n’est tolérée. Les questions sociétales, à l’image de la GPA, la gestation pour autrui, sont recouvertes d’un halo de bien-pensance et toutes remarques à rebours de la parole unique sera vouée aux gémonies, diabolisée, raillée et caricaturée.

A l’image du verrouillage totale de la parole pendant la période du Covid-19, la chape de plomb s’abat sur la presse et sur les esprits. Emmanuel Macron règne alors en maître diffusant l’unique bonne parole, parsemée de mensonges et de paradoxes, comme l’a encore démontré le discours de la Sorbonne à quelques semaines des élections européennes.

Ceux qui résistent, après avoir été éborgnés et mutilés dans les rues pendant les manifestations de Gilets Jaunes, sont parfois arrêtés chez eux et placés en garde à vue pour des méfaits imaginaires, des adversaires politiques sont convoqués par la justice ou des officines du pouvoir, des voix discordantes sont salies, souillées. 

Tout est fait pour que vous rentriez dans le rang et les Jeux olympiques vont s’illustrer en nouveau test de dressage et de domestication grandeur nature.

Le journaliste et ancien patron de Sud Radio, Didier Maïsto, ne cède rien à l’oppression ambiante. Il décrypte, démonte et dénonce le poids du pouvoir qui accable les libertés individuelles et appelle à un grand sursaut.