Zooms
Zoom - Guillaume Poliste : "Nous construisons des communautés enracinées"
Après avoir marché lors de l’important Pèlerinage de Chartres, les militants de l’association Sophia Polis ont fait le plein d’énergie pour organiser leur traditionnelle université d’été dans le Bourbonnais.
Le jeune président de Sophia polis, Guillaume Poliste, organise ce temps de formation dans le but affirmé de construire des communautés enracinées spirituellement, moralement et culturellement. Une exigence qui ne fait pas peur à des jeunes qui partagent conférences, temps de prière et d’amitié, mais aussi qui participent à de nombreux ateliers manuels. Ces travaux peuvent aller de monter un mur en pierre sèche ou de savoir tuer et vider une volaille... Un retour aux sources et à la nature.
L’université d’été de Sophia Polis est une des multiples réunions de formation qui vont se dérouler tout au long des mois de juillet et d’août à travers la France. Et qui vont mobiliser des centaines et des milliers de jeunes qui se détournent de la doxa dominante.
Zoom - Jean-Paul Gourévitch : Les contes de fées survivront-ils à la culture de masse ?
Les contes de fées ont bercé notre enfance, mais que disent-ils vraiment de la vie, du monde et de nous-mêmes ? Dans son livre "Les contes de fées de notre enfance", Jean-Paul Gourévitch revisite cet héritage universel : des récits d’initiation où le merveilleux, le rêve et la morale préparent l’enfant à affronter le réel.
L’auteur évoque la puissance initiatique du conte comme langage symbolique par lequel les peurs, les épreuves et la sagesse se transmettent de génération en génération. Mais aujourd’hui, que reste-t-il de ce patrimoine ? Le merveilleux ne s’est-il pas effacé devant la technologie, les écrans et la fiction médiatique ? Les contes de fées peuvent-ils encore survivre à la culture de masse, au conformisme et au wokisme moralisateur qui aplanissent l’imaginaire ?
Dans cet entretien, Jean-Paul Gourévitch évoque les grandes figures du patrimoine occidental : Perrault, les frères Grimm, Andersen mais aussi Gripari, ces conteurs qui, chacun à leur manière, ont façonné notre rapport au rêve, au courage, à la justice mais aussi à l’identité.
Et si, malgré tout, la magie n’était pas perdue ? Comme le rappelle l’auteur : "tant qu’il y aura des enfants pour écouter, il y aura des contes à raconter…".
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