Bistro Libertés

Bistro Libertés : Asselineau sort la sulfateuse !

Publiée le 06/03/2024

L'invité spécial d'Éric Morillot est un énarque passé par HEC, pourtant il est tout le contraire du portrait type de l'Enarque. 

Pas un énarque, car il ne pratique pas la langue de bois, non, il parle sans détour.

Pas un énarque parce qu'il a une colonne vertébrale idéologique.

Pas un énarque non plus parce qu'il dit ce qu'il pense, mais surtout, il pense ce qu’il dit. 

Les mots sonnent juste dans sa bouche et lorsqu'on l'écoute, on est à chaque fois surpris par sa logique implacable. Certains mettent de l'eau dans leur vin pour s'approcher du soleil. Lui, il préfère camper sur son orthodoxie politique. Il est un torrent sur YouTube qui affole les compteurs de vues.

C’est un "Bistro Libertés" mémorable que cet épisode avec François Asselineau, le président de l'UPR. 

 

Au programme de cette émission :

1)⁠ ⁠Guerre en Ukraine : vers l’escalade ?

Une entrée en guerre contre la Russie est-elle envisageable ? Quelle issue trouver à cette guerre ? Qui détient les clés de ce conflit ?

 

2)⁠ ⁠⁠Élections européennes de 2024 : vers un tournant politique ?

Que faut-il attendre de ces élections ? Assisterons-nous à une vague des mouvements souverainistes et de droite ? L’Europe est-elle en voie d’effondrement ?

Bistro Libertés - Steven Gunnell : de chanteur à cinéaste

Publiée le 24/12/2025

Pour cet épisode de "Bistro Libertés", Éric Morillot a invité le couple de réalisateurs du film "Sacré Cœur : son règne n’a pas de fin", dont la campagne publicitaire a été censurée par la RATP et la SNCF.
Toute la gauche wokiste est vent debout contre ce film dénoncé comme "prosélyte", qui porte sur les apparitions de Jésus à sainte Marguerite-Marie Alacoque, il y a 350 ans. Il s'ensuit une déprogrammation du film dans certaines salles. Cela n’empêche pas le film de franchir en un mois la barre des 500 000 téléspectateurs.
 
Lui est l’ancien chanteur du "boys band" Alliage. Avec des ventes qui dépassent à chaque fois les 500 000 unités, le groupe connaît le succès de 1997 à 1999. Puis arrive son "bug" de l’an 2000 avec un passage du statut de star à celui d’ange déchu avec à la clé la dépendance à l’alcool, la dépression et la misère. Un tournant tout relatif puisqu’il se convertit en 2000 dans l’église sainte Rita de Nice. Il est vrai que sainte Rita est la patronne des causes désespérées.
Six ans plus tard, Robert Hossein lui confie le rôle de Jésus dans "Ben Hur", puis celui de Jean-Paul II dans "N’ayez pas peur". Au même moment, Sabrina se remet d’une rupture amoureuse très difficile. Ils ont un coup de foudre et se marient dans la vie privée mais aussi dans le travail puisqu’ils fondent une société de production et réalisent des films documentaires pour KTO.

Avec Frigide Barjot, Charbel Lakis et Béatrice Rosen, ils évoquent la cathophobie en Europe.
Chaque année, la même scène se répète : crèches de Noël interdites, menaces islamistes et pressions wokistes… Dans une France culturellement catholique, les chrétiens se retrouvent de plus en plus ciblés, placés au cœur des tensions, jusqu’à devenir un marqueur idéologique que certains veulent effacer. Au même moment, le film "Sacré Cœur" explose les compteurs !