Bistro Libertés

Bistro Libertés : Asselineau sort la sulfateuse !

Publiée le 06/03/2024

L'invité spécial d'Éric Morillot est un énarque passé par HEC, pourtant il est tout le contraire du portrait type de l'Enarque. 

Pas un énarque, car il ne pratique pas la langue de bois, non, il parle sans détour.

Pas un énarque parce qu'il a une colonne vertébrale idéologique.

Pas un énarque non plus parce qu'il dit ce qu'il pense, mais surtout, il pense ce qu’il dit. 

Les mots sonnent juste dans sa bouche et lorsqu'on l'écoute, on est à chaque fois surpris par sa logique implacable. Certains mettent de l'eau dans leur vin pour s'approcher du soleil. Lui, il préfère camper sur son orthodoxie politique. Il est un torrent sur YouTube qui affole les compteurs de vues.

C’est un "Bistro Libertés" mémorable que cet épisode avec François Asselineau, le président de l'UPR. 

 

Au programme de cette émission :

1)⁠ ⁠Guerre en Ukraine : vers l’escalade ?

Une entrée en guerre contre la Russie est-elle envisageable ? Quelle issue trouver à cette guerre ? Qui détient les clés de ce conflit ?

 

2)⁠ ⁠⁠Élections européennes de 2024 : vers un tournant politique ?

Que faut-il attendre de ces élections ? Assisterons-nous à une vague des mouvements souverainistes et de droite ? L’Europe est-elle en voie d’effondrement ?

Les révélations choc de Patrick Sébastien à Bistro Libertés

Publiée le 15/10/2025

L’invité spécial d’Eric Morillot est Patrick Sébastien, un monstre sacré de l’audiovisuel. Il a tout fait avec succès : imitateur, humoriste, animateur, compositeur et chanteur, producteur, réalisateur et metteur en scène. Il fera les plus grosses audiences de TF1 et France 2. Il sera licencié par Delphine Ernotte, la présidente de France Télévisions qui trouvait qu’il y avait trop de mâles blancs de plus de 50 ans dans son groupe. Il aime le peuple et le peuple lui rend bien. Populaire auprès des Français, on l’accuse de populisme lorsqu’il interprète des chansons grivoises.

Au programme de cet épisode :

Krach politique : qui sont les coupables ?

La cécité du pouvoir face au peuple en colère ?