Bistro Libertés

La Grande Rétrospective 2024 - Bistro Libertés avec Geoffroy Lejeune

Publiée le 25/12/2024

Pour en parler l’invité spécial d’Eric Morillot est un homme de presse dont les fonctions de direction ont provoqué l’émoi de la bien pensance. Il est vrai que c’est un homme de convictions, ami de Marion Maréchal et un proche d’Éric Zemmour. Il lui a consacré d’ailleurs un livre intitulé « Zemmour Président, de la fiction à la réalité ».

Pourtant, Il réfute l’idée d’être au service d’une mouvance.

Il déclare au Figaro, «Je suis un militant du journalisme, pas d’un bord politique».

Et le journalisme lui réussit bien. Après l’École Supérieure de Journalisme de Paris, il entre au « Point ». Il fait des chroniques sur « Europe 1 » et « Sud Radio ». Ses fréquentes apparitions TV aux côtés d’Ardisson, de Laurent Ruquier ou d’Arlette Chabot sont très remarquées.

En 2013 il intègre le magazine « Valeurs Actuelles » dont il devient très rapidement le rédacteur en chef du service politique. La ligne éditoriale qu’il arrête est jugée trop favorable à Éric Zemmour et déplait à l’actionnaire principale du magazine.

Arnaud Lagardère, qui voit en lui le redresseur de « Valeurs Actuelles » , lui propose de prendre la tête du « Journal Du Dimanche » dont le groupe de presse a été racheté par Vincent Boloré .

Sa nomination suscite des remous au sein de la rédaction qui déclenche une grève de 40 jours. La non parution du journal et la moue de certains annonceurs n’entament pas la détermination de la direction. Il est donc la preuve que le noyautage de la presse par la gauche wokiste n’est pas une fatalité.

 

Au programme de ce épisode :

1.⁠ ⁠Y’a-t-il un pilote dans l’avion France ? Quel bilan tirer de l’année 2024 pour la France ?

La politique française a-t-elle touché le fond ?

Quelles perspectives pour 2025 ?

 

2.⁠ ⁠⁠2024 : année de guerres et d’élections.

Quel bilan tirer de l’année ayant vu le plus d’élections de l’histoire ? La démocratie en sort-elle renforcée ?

L’Occident est-il durablement affaibli ? Faut-il craindre un embrasement mondial ?

Quel avenir pour la paix ?

La France Libre à Bistro Libertés

Publiée le 28/05/2025

Pour cet épisode spécial Liberté d’expression, Eric Morillot a réuni 5 combattants de la liberté :

- Pierre Jovanovic, spécialisé dans scandales de la finance et du monde des puissants, victime d'une descente de police il y a quelques jours ;

- Hervé Moreau, le capitaine de gendarmerie le plus puni de France pour être sorti du silence ;

- Emmanuel Ostian, un grand reporter qui a couvert tous les grands conflits pendant dix ans ;

- Amélie Ismaïli, une journaliste indépendante, spécialiste des arnaques au "fact-checking" comme Conspiracy Watch ;

- Greg Tabibian, de la chaîne YouTube "J’suis pas content" dont l’humour noir, ne vous y trompez pas, sert d’habillage à des analyses beaucoup plus profondes. Il est l’archétype de l’homme libre qui s’est affranchi des barrières idéologiques.

 

Au programme de cet épisode :

1) Les forces de police au secours des faiblesses de l’esprit ?

A 6h du matin, les forces de police ont fait une descente au Jardin des livres, la maison d’édition de Pierre Jovanovic. Quand les mots manquent, l’intimidation devient la règle. Pierre Jovanovic témoigne.

 

2) Le devoir de réserve est-il obsolète ?

Pour avoir rompu son devoir de réserve, le capitaine Hervé Moreau va être l’officier de gendarmerie le plus puni de France avec un blâme du ministre des Armées, Florence Parly et 40 jours d’arrêts de rigueur. Pourquoi, ceux qui sont les principaux témoins des dysfonctionnements de la société sont-ils condamnés au silence ?

 

3) Peut-on sortir de l’autisme de la bien-pensance journalistique ?

Les écoles de journalisme sont des fabriques de relais d’une intelligentsia en rupture avec les aspirations populaires. Que faut-il faire pour rompre avec ce journalisme déconnecté ?

 

4) Fact-Checking : une vérification ou une altération des faits ?

En ne donnant qu’une vision tronquée sur la réalité des faits qui entourent un sujet, le "fact-checking" participe à désinformer le citoyen, au contraire de l’objectif qu’il prétend se donner. Rechecking est né de cette volonté de proposer un contre-fact-checking. Amélie Ismaïli nous parle de ce combat qu’elle mène au quotidien.