Les Conversations
Les Conversations : Le parcours très coloré de Frigide Barjot
Voici dix ans exactement, en novembre 2012, la première Manif Pour Tous s’élançait de la place Denfert-Rochereau, remportant d’emblée un succès inattendu derrière un slogan simple : "Un père, une mère ! Défendons la famille naturelle !". Suivirent de nombreuses manifestations, en province aussi bien qu’à Paris (où trois nouvelles manifestations dépassèrent le million de participants) qui montrèrent l’ampleur de l’opposition des Chrétiens à la "loi Taubira", laquelle fut cependant adoptée à la sauvette par des parlementaires qui n’avaient sans doute pas perçu l’étendue de ses conséquences. C’est ce que montre ici Frigide Barjot, alias Virginie Tellenne, dans un entretien très libre au fil duquel celle qui sut mettre ses talents bien rodés de "communicante" relate son parcours personnel, montrant comment elle parvient à mettre "le feu aux poudres", au service d’une cause qui surprit par sa vigueur. Ce combat n’en est à ses yeux qu’aux prémisses : la lutte des conservateurs contre les multiformes coups de force du "transhumanisme", la tentative prométhéenne de créer des "transhumains" doit se poursuivre inlassablement. Informons-nous, écoutons avec le cœur cette femme à nulle autre pareille, suivons-la ici dans la défense de l’humanité de l’Homme !
Les Conversations avec Jean Marie Rouart - Les Bonheurs de la civilisation française
Après une quarantaine d’ouvrages, Jean-Marie Rouart, l’un des mieux connus de nos académiciens français qui fut deux fois directeur du Figaro Littéraire, consacre un livre étonnant à son père, le peintre Augustin Rouart, maître de ce "réalisme poétique" qui échappa à toutes les modes et dont il s’attache à faire reconnaître l’œuvre. L'occasion de revenir sur sa famille, qui cultiva pendant des générations les Beaux-Arts au point d’accumuler de somptueuses collections (on en aura un aperçu au fil de l’émission), mais aussi sur ses héritages intellectuels et moraux - ceux d’une France qui glorifia toujours la devise des gentilshommes "Vivre Libre", et dont il incarne à merveille le primat accordé à la littérature, et à la langue, dont il est un défenseur acharné contre les dévastations américaines, qu’il n’hésite pas à comparer à une colonisation - notamment contre le franglais. Regardant toutes choses au prisme de la littérature, il lâche au détour d’une phrase : "La Littérature fut l’essentiel de ma vie". Portrait d'un parfait chevalier des Arts et des Lettres...
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